Pour braver la solitude du poète, nous irons donner un coup de pied à la lune, écouter le chant du Gobe-douille, boire des apéritifs sans alcool, faire de la musique de placard.
Et, en attendant qu’il s’arrête de pleuvoir, nous écouterons parler de Bach, de Beethoven, du suicide de Georges, de radiographies de pieds. Nous ferons une partie de ping-pong céleste, nous ressentirons ensemble un léger frisson métaphysique dans la colonne vertébrale et nous trouverons merveilleux de lire et relire dans « Carnets en Marge »:
«Je suis entré dans le monde pour le rendre provisoire ».